8Cette problématique peut prendre place au centre du débat classique pour les théoriciens du langage entre la fonction représentationnelle et la fonction constructive (du langage). Meyriat J., (1993c), « Documentation », in Estivals R. doukipudonktan me semblerait relever de l'écrit, mais pas parce que vous venez de l'écrire, et moi après vous : c'est plutôt que la graphie est fortement visuelle, qu'elle a été faite pour l'affichage si je peux dire : le texte gagne à être vu. Cette différence est pourtant largement sous-évaluée autant par les approches linguistiques théoriques (depuis Saussure) que méthodologiques. Elle nous conduit in fine à réaffirmer la voie sémiologique comme cadre général d'une théorie de la documentation. La communication est un processus par lequel deux ou plusieurs personnes échangent des messages dans un but déterminé. La représentation documentaire réside alors dans cette tension entre un dit documentaire et un dire documentaire (Courbières, 2011). 337-354. 351-352. Nous avons eu l’occasion d’examiner la question de la représentation à travers l’analyse des langages documentaires. L’objet documentaire lui-même se place à l’intersection de ces deux fonctions : un document répond à la fonction de désignation par les données qui constituent son expression, et c’est par l’actualisation de son contenu qu’il acquiert un sens, devenant un signe à part entière. ), Jean Meyriat, théoricien et praticien de l'Information Documentation. Communication, ça vient du mot latin communicare, pour mettre en commun, faire part de, partage, qui lui-même est un dérivé de communis, qui signifie commun. Tant la Directive que le droit français ont consacré la supériorité des technologies de signature électronique fondées sur la récepteur à l`élève. A l‘oral, l‘expression est déterminée par la prononciation, l‘intonation, la mélodie, l‘accentuation. C’est pourquoi nous voyons un discours spontané, elliptique et explicité. Meyriat J., (2001b), « La science de l'information », in Couzinet V. Si l’on consulte la définition technique de l’objet documentaire, on constate que la notion de signe utilisée par les pères de la documentation se trouve pulvérisée à travers celles d’information (documentaire), d’informations (au sens de données), de la signification attribuée, et de la visée communicationnelle plurielle de l’objet : un document est « l’ensemble d’un support d’information, quel qu’il soit, des données enregistrées sur ce support et de leur signification, servant à la consultation, l’étude, la preuve ou la trace, etc. Nouvelle réalité, nouvelle cuisine, nouveau roman, nouveaux philosophes, nouvelle nouveauté... Un tas de vieilleries, quoi ! », in Les sciences de l’information et de la communication : affirmation et pluralité, 16e Congrès de la SFSIC, 11-13 juin 2008, Compiègne, http://www.sfsic.org/congres_2008/spip.php?article125. 507-522. 7C’est suivant cette virtualisation/actualisation de l’objet documentaire que nous avons avancé le principe de l’horizon documentaire (Courbières, 2004 ; Courbières et Couzinet, 2006), en reprenant les concepts d’horizon d’attente développé en esthétique de la réception : l’horizon d’attente tel que le définit Hans Robert Jauss embrasse les phénomènes de réception pendant la production de l’objet artistique et après sa création ; il concerne à la fois le producteur de l’œuvre et ses récepteurs. Courbières C., (2004), « Documents, signes et savoirs : retour sur l’analyse documentaire », in Metzger J.-P. (dir. L'itinéraire proposé dans cet article invite à considérer cet objet au regard des notions de signe, d'information et de savoir, selon lesquelles se déploie sa dimension épistémologique. Mais les concepteurs de sujets l'ont sans doute fait exprès. Le langage est plus large que la langue :certains linguistes voient le langage comme une aptitude innée à communiquer, à représenter le monde par des signes et des symboles.D'après Claude Levi-Strauss, la fonction symbolique propre au langage englobe tous les faits culturels, dont les faits de langue. forum abclf » Écriture et langue française » la différence entre l'écris et l'orale. Le langage verbal passe forcément par la voix. 13Apparu à la fin du XIXe siècle pour signifier l’action de réunir des documents, le terme documentation est adopté au début du XXe siècle par l’Institut international de bibliographie fondé par Paul Otlet et qui deviendra en 1931 l’Institut international de documentation. 57, n° 5, pp. Passons ... En tout cas, si la langue orale et la langue écrites sont bien deux réalités différentes, il n'empêche que, dans le fait, les correspondances sont parfois étroites. Meyriat J., (1993d), « La bibliologie parmi les sciences de l’information et de la communication », in Estivals R. Plus largement, comment envisager la documentation, discipline improbable au regard des Sciences de l’information et de la communication ? Pourriez-vous me guider svp. 63-81. Je ne vois pas bien ce que vous attendez des participants. Depuis la Directive Européenne de 1999 et la réforme du droit de la preuve de 2000, l’écrit électronique signé est admissible et sa force probante reconnue en Droit français. Caroline Courbières, « Virtualité, représentation, signification : approche de la complexité documentaire », Études de communication [En ligne], 39 | 2012, mis en ligne le 01 décembre 2014, consulté le 16 décembre 2020. Ou alors, doukipudonktan, c'est de l'écrit puisque je l'écris. 3.- Langage écrit . 4La référence au signe comme caractéristique de l’information documentaire sous-tend de la même manière la définition autorisée de l’information dans le Vocabulaire de la documentation : « élément de connaissance susceptible d’être représenté, à l’aide de conventions pour être conservé, traité ou communiqué. Voici d'où est extrait le texte de jasmin le ou la plagiaire : http://www.frenchresources.info/pdf/jea … ucrot3.pdf. Hjorland B., (2007), « Semantics and Knowledge Organization », Annual Review of Information Science and Technology (ARIST), vol. Le linguiste Bernard Pottier a modélisé ce double processus par une représentation des parcours onomasiologique – qui rend compte des phénomènes de désignation (conceptualisation et sémiotisation) – et sémasiologique – qui rend compte des phénomènes d’interprétation (identification et compréhension). De fait, la revendication possible d’une science de l’information s’explique par l’importation du modèle américain qui, à partir de la seconde moitié du XXe siècle, impose l’Information Science (Fondin, 2005). Figure emblématique de ce courant européen, Roland Barthes conçut la sémiologie comme une branche de la linguistique, inversant par là même la proposition saussurienne : « la langue est le domaine des articulations, et le sens est avant tout découpage » (Barthes, 1964, 114). Raber D. et Budd J. M., (2003), « Information as sign : semiotics and information sciences », Journal of Documentation, vol. Figure 1 : le papillon sémantique de Bernard Pottier. Je propose ceci, ajouté à la réponse sur "langue" et "langage" de Gb. 41, pp. L’on doit ainsi concevoir une sorte de pré-statut documentaire potentiel d’un objet pouvant être soumis à la description ou l’analyse, puisque, à l’image du signe, le document dépend de « ce moment instituant, celui du regard prêt à interpréter » que pose Yves Jeanneret à propos du support documentaire (Jeanneret, 2007, 100). Enfin ! 55-67. , (2007), « Semantics and Knowledge Organization », Annual Review of Information Science and Technology (ARIST). réelles subies par les élèves. La notion d’information évoquée par Robert Escarpit renvoie à l’information mathématique, la notion de savoir s’apparente à l’information sociale et son inscription documentaire ; si la première se saisit dans une logique de transmission linéaire, la seconde implique un travail interprétatif qui déborde le modèle traditionnel de la communication et prouve « que le savoir et le sens ne sont jamais simplement donnés, mais qu’ils sont élaborés » (Jeanneret, 2008, 38). 150-151. » « je sais pas » mais pleut-il ? On emploie une syntaxe simple  et facile, il y a toujours des phrases simples et inachevées, et avec des pauses : des « hen!»  Des « ben » des « tu vois » et des « j’ veux dire » et des abréviations fac : faculté. L’information en tant que donnée accède au statut d’information en tant qu’élément de connaissance à partir du moment où elle est saisie comme signe. Nous constatons donc, que la langue orale et écrite appartiennent à deux registre distincts, codifiés de manière différente et rigoureusement séparés l’un de l’autre, mais cette division devenue de plus en plus souple dans l’écriture romantique du 20ème siècle, est bousculée par plusieurs auteurs contemporains, et spécialement les écrivains du Maghreb, qui mélangent langue orale et langue écrite. Jauss H. R., (1978), Pour une esthétique de la réception, Paris, Gallimard. Or le caractère variable de l’horizon documentaire remet en question la stabilité informationnelle de l’objet documentaire, non pas en raison de la forme ou du support de ce dernier, mais parce que le document se construit à partir de son contexte de réception. (dir. Avant d’envoyer un quelconque message, il faut d’abord définir son objectif et déterminer le ou les destinataire(s). Mais je ne pense pas que l'écrit puisse directement reproduire l'oral. Fondin H., (2005), « La science de l’information ou le poids de l’histoire », Les enjeux de la communication, http://w3.u-grenoble3.fr/les_enjeux/2005/Fondin/home.html. De plus, c'est souvent très terne. de l’Université de Montréal – de se pencher sur la situation et l’avenir du projet virtuel, en marche depuis près d’une ... ment le musée se développe dans la virtualité et, en retour, comment cette dernière, par imitation ou par opposition, ... mais caractérise aussi la culture actuelle. Il justifie, tout en dépendant d’elle, l’activité de tous les acteurs que l’on peut désigner sous l’appellation de « professionnels de l’information ». 12Ces deux derniers angles d’attaque doivent ainsi être choisis pour déterminer la double nature des relations sémantiques qui structurent tout langage documentaire : « relations between concepts, senses or meanings should not be confused with relations between the terms, words, expressions or signs that are used to express the concepts. 36-59. URL : http://journals.openedition.org/edc/4100 ; DOI : https://doi.org/10.4000/edc.4100, Caroline Courbières, LERASS – Université de Toulouse, Voir la notice dans le catalogue OpenEdition, Nous adhérons à OpenEdition Journals – Édité avec Lodel – Accès réservé, Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search, Organisation des connaissances : épistémologie, approches théoriques et méthodologiques, Dossier : Organisation des connaissances : épistémologie, approches théoriques et méthodologiques, Virtualité, représentation, signification : approche de la complexité documentaire, Virtuality, Representation, Signification: Approach to Documentary Complexity, It is, however, common to mix both of these kinds of relations under the heading ‘semantic relations’. The concept of document is foundational within documentation as a praxis and a discipline. 143-159. Et le discours lu ? colloque scientifique international du réseau MUSSI, 15-17 juin 2011, Toulouse, Manifestations scientifiques du Réseau MUSSI, pp. de compréhension de l’écrit réalisée par S. Cèbe, R. Goigoux et S. Thomazet. Il manque la question, c'est vrai, et on ne sait quoi répondre, n'ayant pas été interrogé. Comment expliquer la possibilité d’une représentation documentaire déconnectée d’une éventuelle signification documentaire ? Les contester ? La sémiologie (ou sémiotique) européenne tire son origine du geste fondateur du linguiste suisse Ferdinand de Saussure qui consista à déconnecter le signe linguistique de l’objet extra-linguistique auquel il réfère. ), Médiation et représentation des savoirs, Paris, L’Harmattan, pp. Or, cette distinction élémentaire répond mal je crois quand on lui demande si telle pièce de théâtre qui passe à la radio, ou si les vœux du Président de la République le soir du 31 décembre sont de l'écrit ou de l'oral. Le concept de document fonde la documentation en tant que praxis et discipline. Miège B. et Odin R., (1993), « Les domaines de compétence de la 71e section », La Lettre d’Inforcom, n° 42, pp. Ce terme exprime bien à la fois l’objet en question (le document – terme dérivé, faut-il le rappeler, du verbe latin docere) et la nécessaire action qu’il implique (explicite à travers la dérivation nominale produite par le suffixe -tion) – : la documentation, en tant que discipline, ne se résume pas à l’application de techniques documentaires, elle suppose une certaine posture qui prend appui sur l’élaboration même de son objet (l’objet documentaire). Pottier B., (1992a), Sémantique générale, Paris, PUF. ), Médiations et hybridations : construction sociale des savoirs et de l'information. Conservant la notion de support posée par Paul Otlet et la nature sémiotique de l’objet avancée par Suzanne Briet, Jean Meyriat introduit celle d’information pour définir ce qu’est un document : « un objet sur lequel sont enregistrés des signes représentant de l’information. 14Une cartographie des Sciences de l’information et de la communication reste extrêmement mouvante ; c’est ainsi qu’à l’origine de ce champ, les recherches sur les médias ou en journalisme s’inscrivaient sur le volet information, tandis qu’elles peuvent apparaître aujourd’hui, pour certaines, comme le fer de lance du volet communication. 51, pp. Boutin E., Liu P., Goria S., Dumas P. et Amos D., (2008), « Les SIC à partir du thésaurus Rameau : représentation ou interprétation ? Un objet documentaire n’existe donc qu’à partir du moment où il signifie pour quelqu’un. La théorie du bonheur conversationnel développée par A. Auchlin4 se caractérise par une volonté de prendre en considération la dimension qualitative de l'usage du langage. « Petite Biblio thèque Payot », 1968, p ; Il est faux de penser que l’usage du langage humain se caractérise par la volonté ou le fait d’apporter de l’information. 5Bien que marquée par la terminologie héritée de la théorie mathématique de l’information-communication, cette citation de Robert Escarpit rejoint la distinction fameuse faite par Jean Meyriat entre document par intention (l’objet produit en vue d’informer) et document par attribution (l’objet élaboré dans la recherche d’information) (Meyriat, 2001a, 144). Donc il serait préférable selon Sophie … La posture scolaire caractérise davantage la manière dont ’élève essaie avant tout de rentrer dans les normes scolaires attendues, tente de se caler dans les attentes du maître. Médiations et hybridations : construction sociale des savoirs et de l'information, actes du 2e colloque scientifique international du réseau MUSSI, 15-17 juin 2011, Toulouse, Manifestations scientifiques du Réseau MUSSI, pp. Le langage oral a pour avantages d’obtenir une réponse immédiate de la part du récepteur contrairement à l’écrit. Disons que j'essayais de lancer un débat (car effectivement il n'y avait au départ aucune question) : langue écrite et langue orale sont-elles deux réalités bien distinctes ?? D’autre part, ces langages, en tant que systèmes de signes, autorisent une seconde saisie qui s’intéresse à leur sens, résultant de la configuration signifiante constituée par des unités documentaires définies les unes par rapport aux autres. Idem pour les onomatopées : l'anthologie finale de votre dictionnaire serait impossible à « parler » ; mais graphiquement, visuellement, ça vaut le coup d'oeil. L’oral est régi par les sons, accompagnés ou non d’un vecteur visuel (le non-verbal), alors que l’écrit est régi par le signe graphique, c’est-à-dire le visuel et le geste scriptural. Si tout objet peut prétendre à un statut documentaire – à l’image de l’antilope prise comme exemple par Suzanne Briet ou de pièces vestimentaires présentées dans des expositions muséales –, c’est en vertu de la fonction informative qu’un récepteur est susceptible de lui attribuer. Certains travaux de linguistique et sémiotique peuvent d’ailleurs relever de la compétence des Sciences de l’information et de la communication « si l’objet de l’étude porte sur le fonctionnement d’un processus de communication, ou sur l’extraction et la représentation des connaissances en vue de la conception de systèmes d’information » (Miège, Odin, 1993, 8). Ce mode de communication se caractérise par la virtualité du destinataire, il est donc possible que vous n’obteniez pas de réponse immédiate. La généalogie même des Sciences de l’information et de la communication rappelle enfin les liens privilégiés que celles-ci entretiennent avec le courant sémiologique ; en effet. Cependant la communication n’est pas exclusive des humains ; les animaux se communiquent aussi entre eux et … Un discours d’action se manifeste par une production militante des plus diverses, rassemblant affiches, bulletins et journaux en tous genres, acquis à la Dans la langue parlée il n’ y a pas la possibilité d’élaborer  et de surveiller bien la langue. 367-405, http://dlist.sir.arizona.edu/2312. 152-154. Le témoignage n'en a pas moins de valeur. Cette évidence-là … merci beaucoup pour vos renseignementssveta. Barthes R., (1964), « Éléments de sémiologie », Communications, 4, pp. On peut donc s'en approcher, d'accord, c'est ce que je crois ; parfois près c'est possible (et difficile à certifier en l'absence de l'original, pour le passé). (dirs. Otlet P., (1934), Traité de documentation : le livre sur le livre, Brussels, Éditions Mundaneum, Centre de Lecture Publique de la Communauté Française. Jeanneret Y., (2008), « La relation entre médiation et usage dans les recherches en information-communication », in Marteleto R. M. et Thiesen I. Si elle est oralisée, elle reste écrite, plus une couche d'oral. Pourtant, l’aspect évoqué ici – les effets du choix de langues sur l’expression des relations d’amour – reste peu étudié. VI, n° 2, http://www.revue-texto.net/Inedits/Coseriu_Theses.html. En un sens le passage par l’écrit correspond au processus qui nous rend anonyme, ne serait-ce qu’en fonction de la multiplication des contraintes ou des obligations qui s’imposent à tous. De l’anecdote à la généralisation. L'écrit n'a pas à se soumettre à la dictature de la réalité, pas plus que le témoignage n'a à se substituer au roman. Un écrit utilitaire s’inscrit toujours dans un schéma de communication. 2 Cf. Cette mobilisation se caractérise par sa nature multiforme, ralliant à sa cause les milieux antifranquistes les plus mesurés et les forces d’extrême-gauche les plus virulentes. 55-67. Prof : professeur. Lund N. W., (2010), « Document, text and medium : concepts, theories and disciplines », Journal of Documentation, vol. Ils n’utilisent en conséquence ni les mêmes vecteurs ni les mêmes canaux de communication, ce qui traduit une différence notoire. Ollivier B., (2001), « Enjeux de l'interdiscipline », L'année sociologique, vol. La langue écrite se fonde souvent sur la langue orale, et même, plus étonnant, la langue orale s'appuie parfois sur la langue écrite ; c'est le cas en classe, selon l'un des auteurs du dossier de l'épreuve. La notion saussurienne de signifié – liée à celle de signifiant et distincte de celle de concept –, permet d’analyser la construction du sens à partir du seul contenu linguistique, le signe n’ayant de valeur que par les rapports oppositionnels qu’il entretient avec les autres signes du système. De son côté, et mettant en perspective l’importance des semiotic studies par rapport au nombre peu élevé des départements de sémiotique de par le monde, le danois Niels Winfeld Lund souligne également l’apport de la théorie sémiologique à nombre de disciplines scientifiques (Lund, 2010). Néanmoins, il faut noter que la représentation documentaire ne renvoie pas à ce que Gottlob Frege désigne sous le terme de représentation – qui reste pour lui essentiellement individuelle (Frege, 1971, 105-106) –, mais bien au sens et à la dénotation tout à la fois. Il est aussi accompagné de la mimique pour renforcer l’expressivité. Meyriat J., (2001a), « Document, documentation, documentologie », in Couzinet V. (dir), Jean Meyriat, théoricien et praticien de l’Information Documentation, Paris, ADBS Éditions, pp. , (2001b), « La science de l'information », in Couzinet V. Cet article traite de certaines pratiques de l’écrit, urbaines et relativement récentes, à savoir les messages transmis par téléphone portable, les SMS. Courbières C., (2011), « Stéréotypage et artifice documentaires », Communication & langages, n° 170, pp. Saussure F. de, (2002), Écrits de linguistique générale, établis et édités par Simon Bouquet et Rudolph Engler avec la collaboration d’Antoinette Weil, Paris, Gallimard. Par ailleurs, la sémiotique peut encore principalement se référer à la semiotics du philosophe et logicien américain Charles Sanders Peirce, ou renvoyer aux travaux du Cercle de Paris fondé en 1967 par A. J. Greimas dans le prolongement de la linguistique structurale. Où donc est le point d'interrogation ? En même temps que dans l’écrit, la solitude prime sur le contact, le temps de l’élaboration se sépare du temps de la … Au fil de ces commentaires minutieux, Hariman identifie quelques figures modernes de ces différents styles, à l’exception notable du dernier. C’est sur cette (non) définition du document (pris comme un artefact) et sur l’horizon documentaire qui la subsume que la notion de représentation documentaire prend appui. : il y a des abréviations, des trombines, ^^, des quantités de petites choses écrites, des fautes d'orthographe volontaires, quoique l'ensemble semble parfois assez proche de l'oral que nous entendons (donc nous pouvons comparer). Le symbole porte une une face sensible qui a un rapport avec ce qu'il exprime. Frohmann B., (2011), « Reference, representation, and the materiality of documents », in Couzinet V. et Courbières C.