Connaissant tout l’in­térêt que Votre Majesté nous porte, nous savons que cet événement lui sera agréable. L'Assemblée nationale décide, en urgence, et dans le plus grand désordre, de créer de nouveaux hôpitaux » sédentaires et ambulants » mais dans le même temps, supprime progressivement les hôpitaux d'instr… Quant à votre état militaire, je n’ai rien à dire si vous exécutez les traités et si vous payez la solde de mes troupes ; mais il me revient de partout qu’elles ne sont point payées et qu’elles sont dans la plus fâcheuse position. Prenez deux de ces quatre bricks, complétez bien leur équipage, approvisionnez bien leur artillerie, donnez-leur des rechanges, et qu’ils se rendent à Corfou. Si on ne l’a pas fait, témoignez-en mon méconten­tement. Il faudrait arranger les finances de manière à ce qu’elles suffisent pour couvrir les dépenses de l’administration et pour donner quelque chose aux routes. Cette guerre d’Espagne se doublait donc d’une guerre civile. Faites-moi un rapport là-dessus. Cet article traite de la guerre de 1808-1814, appelée également, « cette malheureuse guerre d’Espagne a été une véritable plaie, la cause première des malheurs de la France », « Il faut qu’un prince ami de la France règne en Espagne ; c’est l’ouvrage de Louis XIV qu‘il faut recommencer. Elle fut abrogée et rétablie deux fois. Je suppose que vous avez reçu de Hollande l’état de ce qui manque à Batavia, et que vous en ferez la répartition sur chaque bâtiment. Il parait que le département de la Stura va mal. Des atrocités — saccages, viols, profanations, agressions sadiques — furent commises par tous les camps[7],[8]. Miguel Pereira Forjaz Victoire des Alliés (Espagne bourbonienne, Angleterre et Portugal). A M. Gaudin, duc de Gaète, ministre des finances, à Paris. Donnez ordre au duc de Reggio de faire construire des batteries sur les points les plus favorables pour donner protection à la flottille qui est dans la Jahde. Le roi de Saxe sera censé les avoir achetées ; il nommera un agent pour venir les prendre et les transporter à Varsovie. Si, au lieu de 1,500 fu­sils, il y avait de la place pour 3,000, je hasarderais ce nombre. Vous ordonnerez au vice-roi de faire partir les deux bataillons ita­liens que depuis quelque temps j’ai fait réunir à Domo d’Ossola. Connaissant ainsi les intentions de l’Empereur, vous pourrez parler avec assurance. Mon Fils, j’ai reçu votre lettre d’Ancône du 27 octobre. Tous ces bâtiments seront sous les ordres du commandant des fré­gates françaises, qui lui-même sera sous les ordres du gouverneur; ils feront partie de la garnison de Corfou et seront spécialement destinés à la défense de l’île. Le traitement des sous-préfets sera de 1,500 francs, celui des juges de paix de 400 francs. Elle consacre d'importants droits de l'homme et notamment un suffrage universel masculin. On me con­somme à cela beaucoup de bois et l’on fait des dépenses inutiles. Il faut prendre, s’il est possible, des bâtiments américains qui marchent bien. Il ne pouvait pas attendre grand secours de deux bricks, et en mettant sur chaque corsaire 20 soldats, 5 à 6 matelots du pays, même des prisonniers, avec quelques matelots italiens, il aurait pu emporter tout cela. J’ai pris les décrets qui concernent Batavia. L’exportation des grains peut également être abusive par Marseille ; elle peut l’être aussi par les départements du Rhin et de la Belgique pour la Hol­lande. La route du Simplon me coûte 15 millions; je ne peux pas sacrifier l’intérêt de l’Italie et de la France pour cette chétive population. Ces compagnies seront ainsi organisées : 1 capi­taine, 1 lieutenant et 1 sous-lieutenant, 1 sergent-major, 4 sergents, 1         caporal-fourrier, 8 caporaux et 100 soldats; elles prendront les numéros 1e, 2e, 3e et 4e compagnie, et seront dirigées sur Strasbourg. Monsieur le Comte Daru , je vous envoie un rapport du ministre de l’intérieur. Il est fâcheux aussi que les 200 Anglais n’aient pas été faits prisonniers. Parlez-en au ministre de Naples ici, et prenez la chose avec une telle vivacité que cela ne souffre pas d’obstacle. Présentez-moi en même temps le tracé des frontières du royaume d’Italie et des provinces illyriennes, en prenant le thalweg de l’Isonzo pour limite, en joignant Tarvis et donnant au royaume d’Italie le pendant des eaux des Alpes juliennes. En France, on file en grande quantité les bas numéros, et même on file plus de gros que de fins. Je n’en prends que 3,000 pour la terre et pour la marine. Il me semble qu’elles ne sont pas complètes, puisque vous ne parlez pas de ce qu’elles doivent devenir à Batavia. Jean-Baptiste Jourdan En 1810, une nouvelle grande vente a lieu à Bayonne et une autre à Paris, au Conservatoire des Arts et Métiers {MU, 14 mars 1810). Sa garde même est toute française. ». Vous préviendrez le commandant de ces bricks qu’il sera sous les ordres du gouverneur général, et sous le commandement du com­mandant des frégates françaises ; qu’il fait partie de la garnison et qu’il doit se dévouer en tout à la défense de Corfou. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Je connais peu de dépenses plus importantes que celle-là. Je trouve, en général, que le principe de la conduite des Anglais n’y est pas développé, qu’il n’a pas même été bien saisi. J’approuve ces expéditions, et vous n’avez pas besoin d’un nouvel ordre de moi. L’autre brigade pourrait être com­posée des quatre bataillons du 18′ léger et des 5% 11% 23* et 81(de ligne, formant 2,400 hommes. Qui est-ce qui empêche­rait qu’il y eût un bureau qui escomptât ces lettres de change jusqu’à concurrence d’un million, en se saisissant des marchandises pour garantie ? Le 9 septembre 1808, il est décidé qu'il serait attaché à chaque bataillon de chasseurs des Montagnes : 1 chef de bataillon, 1 quartier-maître, 1 adjudant-major, 1 adjudant sous-officier. Nous entendons que vous, et tous les bâtiments sous votre com­mandement, soyez sous les ordres de notre gouverneur, votre devoir étant de concourir de tous vos efforts, et tant au matériel qu’au personnel, à la défense et à l’approvisionnement de la place et de l’île, et devant vous considérer à cet égard comme faisant partie de la garnison. Je vous envoie les instructions pour les frégates de Nantes. L’expédi­tion de Nantes, ainsi que celle de Saint-Malo, et la, Monsieur le Duc de Feltre, envoyez des officiers et prenez des mesures pour que le duc de Tarente ne fasse pas ce qu’il a déjà fait, c’est-à-dire ne dégarnisse pas toutes nos frontières et ne les livre pas sans défense au brigandage. Tout cela nuit à mon service dans ce département. Je désire que cette même séance vous lisiez le rapport sur les négociations rela­tives à l’échange des prisonniers. Aussi je prie Votre Majesté d’être persuadée qu’elle et moi lui sommes également attachés. Je ne sais pas comment, dans un si petit pays, après quinze mois, il n’a pu encore arrêter ses idées sur ses ressources et savoir ce qu’il rend et quelles impositions on doit mettre ; il y avait d’ailleurs un budget du temps de l’Autriche. Pourquoi payer des pensions au clergé, déjà si bien doté ? On ne mettra sur les deux expéditions destinées à l’île de France, au lieu de 1,700 hommes, que le nombre d’hommes nécessaires pour aller à Batavia, c’est-à-dire seulement 1,400 hommes, de sorte que, lorsque les deux expéditions apprendraient que l’île de France est prise, elles continueraient leur route pour se diriger sur Batavia. Monsieur le Duc de Cadore, je fais porter samedi au Sénat un sénatus-consulte pour la levée de 40,000 marins. La guerre d'indépendance espagnole opposa l'Espagne, le Portugal et le Royaume-Uni à la France du Premier Empire entre 1808 et 1814, dans le contexte des guerres napoléoniennes. Si cela n’est pas suffisant, on l’augmentera par la suite. Vous aurez soin que les vivres soient assurés à la troupe pour six jours. La France perdit près de 217 000 hommes et l'Espagne environ 390 000 dans les rangs militaires (avec 700 000 civils de plus, selon certaines estimations[Lesquelles ?][réf. Croyez que j’attache peu de prix à vos troupes, qui sont formées à la hâte, mal habillées et mal composées. Sur ces entrefaites, Sa Majesté est entrée de vive force dans Madrid. Le général Berthier pourra être le 10 ou le 11 à Sion. On embar­querait une cinquantaine de ces employés sur les différents bâtiments. Arrivé â Corfou, vous remettrez à la disposition de notre gouver­neur général dans cette île les troupes embarquées à Porto-Ferrajo, ainsi que toutes les bouches à feu, armes, munitions et autres objets que chacun de nos bâtiments a reçus en chargement pour cette île. Tâtez M. de Cetto là-dessus. Il sera nécessaire que vous régliez les fonds que devra avoir le quartier-maître que vous enverrez à Passau pour qu’il subvienne aux dépenses nécessaires pour la marche de Passau à Strasbourg. Veillez bien à ce que, parmi les officiers qui seront proposés, il n’y en ait aucun qui n’appartienne à une famille du pays ayant de la considé­ration et des revenus, afin que ce régiment ne soit pas composé d’aventuriers, comme ceux d’Isembourg et de la Tour d’Auvergne, et qu’il nous attache une partie du pays. L’Espagne retrouva ses divisions entre libéraux et ultra-conservateurs. A Eugène Napoléon, vice-roi d’Italie, à Paris. La Sapho de Bordeaux, doit porter 50 hommes et 1,500 fusils. Une des conditions de cet établissement serait que, la maison venant au bout de deux ou trois ans à être hors d’état de rembourser, on vendrait les marchandises pour y suppléer, et elle payerait les frais. L’armée d'Aragon est une des armées françaises qui combattent en Espagne lors de la guerre d'Espagne. Le 19 mars 1812, à Cadix, les Cortes adoptent la première Constitution espagnole. Cela a beaucoup d’inconvénients, d’abord parce que le royaume d’Italie, beaucoup plus riche que la Bavière, pourrait faire quelques ouvrages importants sur les montagnes, qui brideraient le pays; 2° parce que le commerce naturel de ces peuples est avec les Italiens. Il y aura un colonel commandant le département, un commissaire des guerres, une compagnie de gendarmerie à pied et une compagnie de réserve de dernière classe. Ainsi débute la première tentative d'invasion du Portugal (18 octobre 1807). Cette matière est très importante. Elle aurait l’avantage de mettre entre les mains du gouvernement, avec la réserve de Paris, 1,500,000 quintaux, qui four­niraient le moyen de parer à l’événement d’une mauvaise récolte à venir. La guerre d’Espagne s’achevait, mais à l’inverse débutait pour les Hispano-Britanniques la campagne de France qui allait amener la chute de Napoléon. J’ai nommé le général César Berthier commissaire général pour prendre possession du pays. Je crois que la sortie de la toile blanche est permise pour l’Italie; si elle ne l’était pas, j’accorderais une permission spéciale. Il est seulement fâcheux qu’on n’ait pas empêché la sortie des subsistances à l’étranger. Faites-moi connaître quels sont les officiers qui les commandent, et quand elles mettront à la voile. Faites une instruction détaillée là-dessus au comte Otto, et faites-lui connaître le chef du dépôt pour qu’il corresponde avec lui. Monsieur le Duc de Cadore, il faudrait écrire en Saxe, en Westphalie et dans toute la Confédération, pour que l’introduction de toutes marchandises provenant de fabrique anglaise fût prohibée, et que des mesures sévères fussent prises pour qu’à l’issue des foires de Leipzig, Francfort et autres, les marchandises fussent toutes saisies, de quelque côté qu’elles vinssent. On ne pense pas à placer des conseillers d’honneur à la cour de cassation, parce que cette institution aurait moins d’importance, puisque cette cour ne prononce que sur les formes et, quand il s’agit de statuer sur des points de législation, a recours au Conseil d’État pour l’interprétation de la loi. Chargez le sénateur Rœderer de faire un projet d’organisation de ce pays à la française. Monsieur le Duc de Feltre, je reçois votre rapport. Le général Berthier aura ainsi à sa disposition trois colonnes : une qui se rendra à Brigg, composée de deux bataillons italiens, de quatre pièces de canon et de 100 chevaux; une autre composée de deux bataillons du 23e léger, qui marchera avec lui sur Sion; il appellera sur-le-champ à lui les 100 hommes de cavalerie qui parti­ront de Genève ; enfin la colonne du général Fiteau, qui se rendra à Martigny avec un millier d’hommes et deux pièces de canon. Il ne peut y avoir aucune modification à cet égard, et cela produira de bons résultats. Il est telle question criminelle et même civile d’une grande importance où la présence de MM. Répondez à mon ministre à Copenhague que, au lieu du mois d’avril, il demande que les deux équipages soient rendus au mois de mars à Anvers. Sa Majesté destine également quelques places à des capitaines; mais, comme ils devront avoir rang de chef de bataillon, il est bien nécessaire que vous ne présentiez que des hommes capables. Un autre objet, également important, est une meilleure division du Tyrol. En cas d’événement, les vaisseaux débarqueraient sur chaque quelques pièces qu’on mettra dans les places réservées. Je compte qu’il y a au moins 10,000 soldats français au service d’Autriche. Je n’ai besoin ni de général, ni de colonel, ni de chef de bataillon, et même très peu de capitaines, puisqu’il faudrait leur donner un grade supérieur. Mais il ne peut échapper à la sentence de mort qu’en profitant de l’amnistie et en rentrant en France avant l’époque de rigueur. Pierre Juhel, « Baylen, 1808 : l’armée impériale prise dans le bourbier espagnol ». L’historien Jean-René Aymes considère d’ailleurs cette guerre d’Espagne comme la première guerre de guérilla de l’histoire. Les ateliers existants ne doivent donc pas fermer; mais vos manufactures peuvent écrire en France pour faire venir des toiles blanches et des cotons filés. Monsieur le Duc de Cadore, je vous renvoie les pièces de la négo­ciation de Morlaix. On formera de ces derniers des convois de 100 hommes, et on les dirigera sur Stras­bourg, d’où il me sera rendu compte des hommes qui les composent, et je donnerai des ordres pour assurer leur subsistance et les classer. Mon intention est que les officiers d’artillerie et du génie en rési­dence en Hollande soient Français, et que vous donniez aux officiers hollandais en résidence de l’emploi dans les autres parties de la France. Joignez à ces deux bricks trois petits bâtiments, soit felouques ou demi-galères, qui pourraient être utiles à la défense de File, et, à ce sujet, faites consulter des marins de Venise qui connaissent les côtes. Le guet-apens de Bayonne déclencha l’embrasement de l’Espagne. Claude-Victor Perrin Jean-de-Dieu Soult, William Carr Beresford Dans le rapport que vous me ferez vous ne manquerez pas de dire que, lors de l’acte de médiation de la Suisse, j’avais bien senti la difficulté de concilier l’indépendance du Valais avec la rapidité des communications de la France avec l’Italie, mais que j’espérais que cette république inter­médiaire parviendrait à se soutenir, et que, froissée entre l’Italie, la France et la Suisse, elle ne peut subsister plus longtemps dans cet état. Je pense aussi qu’il faudra fermer ces batteries à la gorge, et mettre la ville en état de défense, en réparant le mur, en armant le fort de terre et en construisant quelques ouvrages en terre qui couvrent l’enceinte. Monsieur le Duc de Cadore, je vous ai écrit relativement à la fixa­tion des limites avec le royaume d’Italie. Je vous envoie un plan de la rade de la Hougue, avec une lettre du colonel Deponlbon. Il suffira d’y mettre trois pièces de 36 et deux mortiers à chacune. Bernardino Freire † Vous les approvisionnerez d’autant de vivres qu’elles pourront en porter, soit vivres confectionnés, soit farine et blés. Historiens bigourdans, Claude Larronde et Bertrand Lamon présentent les douze derniers mois de la guerre d'Espagne et des Pyrénées occidentales - 25 mai 1813-1er mai 1814. À partir de 1792, la guerre de mouvement et d'offensive des armées de la République prend rapidement la place de la guerre de siège qui était le cas le plus habituel sous la Monarchie et le Service de santé militaire doit, très vite, s'adapter car les besoins des armées en campagne sont sans cesse grandissants. Parlez-en au ministre de Saxe, pour qu’aussitôt que cet agent sera arrivé il s’adresse à vous et que vous preniez les mesures les plus secrètes avec lui pour ce transport. Le tarif qui a été admis pour la Saxe l’a-t-il été pour le duché de Varsovie ? Si notre monnaie de cuivre n’est pas bonne, il faut en envoyer pour un million ; il faudrait alors en faire mettre sur chaque bâtiment qui va dans ce pays. La cour d’Autriche devra fournir à tous ces individus des étapes jusqu’à Passau. Il faudrait connaître ce que coûteraient des subsistances achetées dans les départements du Rhin et qu’on ferait venir par le canal de Saint-Quentin sur Paris. Ce doit être l’objet d’un courrier extraordinaire, si ce n’est déjà fait. Décède à Haspres le 30/11/1859. La perte de toutes communications avec ses colonies d’outre-mer lui fit rechercher des compensations territoriales sur le royaume voisin du Portugal, avec le soutien de Napoléon. Mon intention est qu’au reçu de la présente vous fassiez partir, de la manière la plus convenable, pour Corfou, six des huit canonnières qui composent la division de ma marine italienne en station sur les côtes d’Illyrie. Jean Mistler et autres, « D'Austerlitz à Madrid », André Palluel-Guillard et autres, « La capitulation de Madrid », Alain Pigeard et autres, « 1808-1809 Napoléon en Espagne : Tudela - Somosierra - La Corogne », revue, Alain Pigeard, « La guerre d'Espagne et du Portugal 1807-1814 » (. Si une escadre n’est pas en sûreté dans la rade, qu’on la fasse rentrer dans le port. Je vois que votre déficit provient de ce que vous avez la simplicité de tenir sur pied 40,000 Napolitains, qui ne peuvent pas vous servir. Outre-Atlantique, les colonies américaines en profitèrent pour se soustraire à l'Empire espagnol, après plusieurs guerres d'indépendance, depuis celle du Venezuela qui commença dès 1810 jusqu'à la fin de la guerre hispano-américaine en 1898. Prévenez le duc de Raguse qu’il ne doit pas attendre un sou de France. Vous ferez con­naître au comte Otto qu’il peut tirer sur vous les fonds qui lui seront nécessaires pour donner aux différents individus l’argent dont ils auraient besoin. Monsieur le Duc de Cadore, il est indispensable d’envoyer un courrier à Berne pour porter à mon ministre mon décret sur la réu­nion du Valais. Monsieur le Comte Bigot Préameneu, mon intention est que les archevêques et évêques que j’ai nommés aux différents sièges de mon Empire et qui m’ont prêté serment prennent le titre de leur siège dans tous leurs actes, titre pour lequel ils m’ont prêté serment. Nous comptons que vous justifierez par votre zèle et votre activité la confiance que nous plaçons en vous. Rien n’empêcherait ces bâtiments de se servir de leurs licences anglaises pour s’aider dans ce commerce. Entre-temps, l'Empereur a réuni à l'Empire les quatre provinces du nord de l'Espagne (février 1810). Il est très important qu’on puisse correspondre avec l’armée de Portugal, pour que, pendant tout le temps que les Anglais ne seront pas rembarqués, on puisse pourvoir à assurer ses derrières. Cette constitution n'a pas toujours été appliquée. Il sera bon que le directeur de l’artil­lerie se concerte avec le préfet maritime pour faire le projet d’armement, qui sera envoyé ensuite à Paris. – 5 juillet 1813 – Suchet évacue Valence. Je suis surpris que cela puisse avoir lieu sans votre ordre. Il fait partie de la division Latour-Maubourg qui est elle-même intégrée au Ier corps d'armée du Maréchal Victor. J’ai retranché des passages; j’en ai marqué d’autres qui m’ont paru bien faibles. Je désire que vous prépariez plusieurs autres expéditions pour Batavia : 1° la corvette la Diane, que j’ai à Cherbourg; 2° la corvette la Tactique; 3° une des corvettes que j’ai à Bayonne ; 4° la Diligente, qui est à Lorient. L'invasion française se heurte à une politique de la terre brûlée terriblement efficace et vient buter contre les lignes de Torres Vedras construites dans le plus grand secret. Mon Fils, faites partir de Venise deux bricks ; je les laisse à votre choix : ou l’Éridan, ou la Charlotte, ou le Mameluk, ou le Lépanie. la Légion de Gendarmerie de Catalogne est finalement créée par Décret du 6 juin 1810. Il y a ici une députation du Valais que vous pouvez voir pour cet effet. On m’a fait faire des présents à la reine de Prusse, à l’empereur d’Autriche, et toujours à faux. Au capitaine de vaisseau Montfort, commandant une division de frégates dans la Méditerranée. Faites-lui payer ce secours mensuel depuis le 1er septembre dernier. Joaquín Blake y Joyes Vous deman­dez qu’on laisse entrer dans le royaume les toiles de coton blanches; elles ne pourraient venir que d’Angleterre, de Suisse, d’Allemagne ou de France. Faites-moi connaître le jour où les fusiliers de ma Garde arrivent à Bayonne ; mon intention est qu’ils aient un jour de séjour à Bayonne. Mettez de suite sous les ordres du général Baraguey d’Hilliers les seize bataillons composés du 3e régiment d’infanterie légère, du 16e de ligne, du 67e, du 102e, etc., afin que les scènes qui ont eu lieu il y a un mois ne se renouvellent plus.