Le terminus de la ligne est désormais effectué à la gare d'Oullins. Ces panneaux peuvent être connectés à une application permettant aux non-voyants de pouvoir entendre leur contenu via un smartphone. En 2007, la ligne A connaît sa seule extension avec l'implantation d'une station supplémentaire sur la commune de Vaulx-en-Velin à l'est de la ligne, dans le quartier Carré de soie. Des interphones permettent de signaler aux agents d'éventuels incidents. En particulier, elle dessert la gare de la Part-Dieu, qui est un point de passage de nombreux visiteurs. Un prolongement de la ligne B plus au sud pour desservir le centre hospitalier Lyon Sud[11] a été déclaré d'utilité publique en 2016 et le chantier a démarré en juin 2017[12]. Une crémaillère de type Von Roll équipe la ligne entre Hôtel de Ville et Croix-Rousse, et l'alimentation en électricité est faite par une ligne aérienne de contact[23]. Vous pouvez également préciser les sections à actualiser en utilisant {{section à actualiser}}.La dernière phrase de ce paragraphe parle de l'année 2019 au futur (conditionnel). Dans le cas contraire, le frein mécanique assurait le freinage; cette disposition permettait de récupérer 17 % de l'énergie[22]. Établi sous l'avenue Félix Faure, il aboutit sur la voie 1 direction Gare d'Oullins au sud de la station Saxe - Gambetta. Les ateliers de la ligne B sont partagés avec la ligne A : il s'agit des ateliers de la Poudrette, à l'extrémité est de la ligne A. Ceci implique que pour aller, quotidiennement pour le garage, ou au besoin pour la maintenance, les rames de la ligne B doivent emprunter le raccordement de Charpennes et les voies de la ligne A entre Charpennes et la Soie. Il accueille les rames MCL 80 de la ligne C, et les deux funiculaires y sont rattachés d'un point de vue technique. La ligne de métro E, initiée par la précédente mandature, est jugée coûteuse, trop longue à construire et n'est donc pas leur priorité. La signalétique orange au début des années 1990 à la station Cusset, Éléments de la signalétique orange à la station Saxe - Gambetta. Le Métro Pneus Lyon 1975 est une catégorie du matériel roulant du métro de Lyon livrée d'origine et rénovée. Les stations construites à partir de 1991 ont une conception fonctionnelle identique, mais leurs aménagements donnent une plus grande importance aux aspects esthétiques. À partir des années 2000, une modernisation de la signalétique est décidée, de nouveaux panneaux sont installés, et l'ajout de totems arborant le logo du métro est réalisé aux sorties des stations. La construction du centre commercial de la Part-Dieu va permettre la réalisation anticipée d'une première station prototype entre 1969 et 1973 qui servira de modèle pour l'ensemble du métro lyonnais et de terminus à la ligne B. D'abord limitée à un tronçon entre Charpennes et Part-Dieu, la ligne avait pour principal objectif de desservir la gare des Brotteaux. Huit propositions valables sont reçues, dont l'une émane de l'OTL (Compagnie des Omnibus et Tramways de Lyon) et une autre de la CLT (Compagnie Lyonnaise de Tramways). #rennes #infotrafic. Le plafond est peint en noir et des lamelles blanches répétées sont suspendues de manière transversale au-dessus des quais en guise de faux plafond. Une reconstruction de ce tronçon pour passer sous la ligne A sera donc indispensable à toute extension au delà[34]. Les travaux se dérouleront entre 1978 et 1981 avec la construction de trois nouvelles stations dont Saxe-Gambetta qui présente la particularité d'avoir un profil souterrain plus profond que la normale afin d'anticiper la future correspondance avec la ligne D qui avait déjà été planifiée à l'époque. Le tunnelier Coline a commencé à creuser le 29 novembre 2019 les 2,5 kilomètres de prolongement[29]. Celle-ci comprend une nouvelle typographie conçue pour l'ensemble du réseau de transport lyonnais dénommée Confluence TCL (en remplacement de Helvetica utilisée historiquement sur le réseau). Un système d'alarme est présent au centre des quais en cas de danger. Une cinquième ligne est en projet, à l'horizon 2030. Le percement du tunnel sous-fluvial commence en septembre 2010 et s'achève le 2 mars 2011, date à laquelle le tunnelier atteint la station Gare d'Oullins, après cinq mois de creusement[6],[5]. En effet, ce quartier connaît, depuis les années 2000, un développement économique et démographique important (création de La ZAC du Bon Lait, nombreuses constructions immobilières). Le premier se situe à la station Charpennes avec la ligne A. Cette liaison, datant de l'origine de la ligne, devait servir en exploitation commerciale pour des services directs de la Presqu'Île vers les Brotteaux dans les premiers projets du réseau, et sert quotidiennement pour rejoindre les ateliers de la Poudrette. Enfin, l'accessibilité de la ligne et des stations desservies sont issues des plans de ligne TCL. nécessaire]. Le métro ainsi que l'ensemble de son matériel d'exploitation appartiennent au SYTRAL qui en délègue l'exploitation par la société Keolis Lyon, filiale du groupe Keolis, sous la marque commerciale TCL. Elle s'appuie sur un rapport de prospective du SYTRAL qui propose cette fois un prolongement en plusieurs phases jusqu'à la gare de Sathonay - Rillieux et l'autoroute A46, pour une réalisation étalée entre 2035 et 2050. Les accès aux quais se font par escaliers fixes et, à quelques exceptions près, par des escaliers mécaniques. L'enquête publique s'est déroulée du 12 octobre au 13 novembre 2015[24]. 11 trains circulent simultanément (B51 à B61 le matin et B51, 52, 54, 55, 56, 57, 61, 62, 63, 64 et 65 l'après midi) en heures de pointe. Les correspondances bus sont reprises dans les articles de chaque station. Le Sytral présente en avril 2017 le plan Avenir Métro[15], dans lequel il prévoit entre autres l'automatisation intégrale de la ligne B et la commande de nouvelles rames automatiques MPL 16 fabriquées par Alstom[16]. La ligne B n'a pas une vocation touristique primordiale, du fait de son parcours situé en dehors de la partie historique de l'agglomération. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Les relèves de conducteurs de la ligne B s'effectuent à la station Charpennes Bis; celles de la ligne A s'effectuent à la station Vaulx - La Soie. Au-delà de la voie ferrée, franchie à la place Jean-Macé, se trouve le quartier de Gerland, en profonde mutation et siège d'un certain nombre d'équipements sportifs et culturels. Le Sytral n'a pas planifié dans le temps l'ouverture éventuelle de cette station, qui pourrait même ne jamais voir le jour. Le métro de Lyon est un des systèmes de transport en commun desservant la ville française de Lyon et son agglomération. Enfin, la rénovation de la station Bellecour est achevée en juin 2017[25]. Les gares de Perrache, Jean Macé, Part-Dieu, Gorge de Loup, Vaise, Vénissieux et Oullins ont en commun leur connexion au métro de Lyon. Si Grégory Doucet, maire de Lyon, et Bruno Bernard, président de la métropole, s'accordent sur le développement du réseau de transports en commun à Lyon, ils souhaitent avant tout déployer leurs efforts sur le tramway[48]. En 2000, la ligne B est de nouveau étendue, cette fois jusqu'au Stade de Gerland. De nouveaux pictogrammes et logos sont également utilisés. Le tunnel présente une rampe maximale de 60 ‰ et atteint une profondeur maximale de 17 mètres sous le lit du fleuve (soit 35 m environ sous la surface du Rhône). Le 9 février 2018, une conférence de presse est organisée pour présenter le résultat des études de faisabilité. Au cours de cette concertation, un prolongement au-delà de la presqu'île est largement évoquée par les contributeurs, afin d'atteindre la gare Part-Dieu et son quartier en plein développement[43]. La majorité des stations du métro lyonnais ont deux quais latéraux encadrant deux voies séparées par des piédroits centraux ajourés. Les nouvelles stations de ce tronçon se distinguent en s'éloignant fortement des codes architecturaux des précédentes stations de la ligne, construites sur le standard datant des années 70. En effet, une étude pour une extension vers le Centre Hospitalier Lyon Sud Jules Courmont et Saint-Genis-Laval avait été lancée par le Sytral[3],[19] dans les années 2000. souhaitée]. Le développement du réseau de métro a entraîné une profonde réorganisation de celui de surface et notamment la création de pôles d'échange multimodaux. Voir sur Twitter. Trois itinéraires sont envisagés autour de la presqu'île sans toutefois y pénétrer : Ces lignes, établies en voie type Decauville à l'écartement 0,60 m, emprunteraient les bas-ports ou les quais du Rhône et de la Saône sur une faible emprise (2,50 m de largeur). Le matériel est constitué depuis l'origine de la ligne de 32 rames de type MPL 75 (Métro Pneu Lyon année 1975), partagées avec la ligne A. Ces rames sont composées de trois voitures : deux motrices encadrant une remorque. INDISPONIBILITE ASCENSEUR. Le choix se fait finalement sur un tracé Alaï - Libération - Ménival - Point du Jour - Saint-Irénée - Bellecour, avec des études complémentaires pour un prolongement à l'est vers Part-Dieu, mais aussi à l'ouest[45] jusqu'à Craponne[46]. 68 agents de conduite sont nécessaires pour exploiter les lignes A et B un jour de semaine (hors vacances scolaires). Chaque train à vapeur serait composé de 5 ou 6 voitures pouvant transporter jusqu'à 300 personnes à la vitesse maximale de 60 km/h, vitesse semble-t-il utopique à atteindre pour une voie de type Decauville. L'origine de la ligne B se situe à Villeurbanne, à la station Charpennes - Charles Hernu ; la ligne part en antenne de la ligne A, la station terminale à voie unique étant située en courbe sous le sud de la place Charles Hernu, et s'oriente vers le sud-ouest sous la rue des Émeraudes et franchit la voie ferrée au nord de l'ancienne gare des Brotteaux. Elles sont assez proches de la surface. Au niveau de la colline de Fourvière, d'autres funiculaires compatibles avec les caractéristiques du terme « métropolitain » sont également inaugurés sur les mêmes périodes. 10, place des Archives - 69002 LYON Métro Perrache (ligne A) Tramways T2 et T1. La ligne B automatisée sera donc équipée des nouvelles rames MPL 16 ; celles-ci sont composées de deux voitures dotées d'une intercirculation. La première circulation quitte le terminus de Oullins à 4h52, le dernier train à 0h18 de Charpennes[11]. Perrache à Saint-Clair par la Guillotière, Monplaisir. Les rames offraient avant leur réaménagement une capacité de 160 places assises et 224 places debout environ (4 personnes/m²), soit un total de 384 voyageurs). Déplacements. Depuis 2017, 98 écrans numériques sont installés dans les stations les plus fréquentées[26]. Elles ont souvent une hauteur sous plafond plus grande et des niveaux intermédiaires. L'espacement et le type de pneu sont similaires à ceux du métro de Montréal construit peu de temps avant celui de Lyon. Cette évolution est liée à une volonté de Henry Chabert, responsable de l’urbanisme à la Communauté urbaine de Lyon, de faire intervenir des architectes différents. La première ligne ouvre le 9 décembre 1974 par la transformation d'une ligne de funiculaire en chemin de fer à crémaillère entre les stations Croix-Paquet et Croix-Rousse. Depuis 2011 et la refonte du réseau de bus, une nouvelle signalétique est adoptée par la marque TCL. La station Brotteaux est placée devant l'entrée du bâtiment voyageurs de l'ancienne gare des Brotteaux, qui était encore en service lors de l'ouverture de la ligne B. Depuis l'ouverture de la gare de la Part-Dieu, le bâtiment a perdu sa fonction d'origine, et il est aujourd'hui en partie classé monument historique. Il y aura donc une période de cohabitation entre rames semi-automatiques (avec conducteur) et rames intégralement automatiques (sans conducteur). Il est entretenu dans l'atelier de la Poudrette à Vaulx-en-Velin[27]. L'appel d'offres a été remporté par Alstom[31]. La mise en service a lieu le 11 décembre 2013 à 14h[8] respectant ainsi la date annoncée dès le départ du projet et marquant la succession de nombres 11 12 13 14. La montée vers la Croix-Rousse se ferait à l'aide d'une crémaillère. Le passage sous le Rhône se fait dans un tunnel unique pour les deux sens de circulation du métro[5]. Toutes les sorties de la station de métro Gare de Lyon sont ici ! Améliorez-le ou discutez-en. L'automatisme intégral ne sera déployé que lorsque du matériel roulant neuf sera mis en service, vers 2019. Le plan de voies affiché ci-dessus n'est qu'un schéma, il ne prétend pas à une exactitude géographique, en particulier en ce qui concerne les échelles ou les directions. Il est annoncé que deux scénarios sont retenus parmi les douze étudiés ; la nouvelle ligne partirait soit de la station Bellecour, soit de la station Hôtel de Ville, et serait mise en service vers 2030[40]. Le débat y a notamment porté sur la desserte du campus de la Doua, et la pertinence du tramway vis-à-vis du métro pour desservir ce campus. Pendant longtemps relié au CFEL, voie ferrée par laquelle ont été livrées les MPL 75, aujourd'hui remplacée par le tramway T3, et accessible par l'arrière-gare de la station Laurent Bonnevay - Astroballe, il est depuis 2007 accessible par l'arrière-gare de la station Vaulx-en-Velin - La Soie à la suite du prolongement de la ligne A. La CNDP a décidé de l'organisation d'une concertation préalable et désigne M. Jean-Claude Ruysschaert et M. Lucien Briand comme garants[42]. La tranche ferme est de 30 rames et la tranche conditionnelle est de 18 rames. Le métro de Lyon est un des systèmes de transport en commun desservant la ville française de Lyon et son agglomération. Le métro lyonnais circule à gauche, comme les trains français, les autres métros circulant généralement à droite. nécessaire]. La ligne prend alors une orientation franche au sud, s'enfonce sous la ligne D juste avant la station Saxe - Gambetta. Une partie des stations disposent d'espaces dénommés Point Contact permettant de rencontrer des agents du métro pour renseigner les usagers. Le métro, ainsi que les bus, trolleybus, funiculaires et tramways de Lyon sont exploités par Keolis Lyon, sous la marque TCL (Transports en commun lyonnais), pour le compte du Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (SYTRAL). Gare de Lyon St-Germain ou Cergy ou Poissy / Boissy ou MLV Chessy Creil ou Orry-la-Ville / Melun ou Corbeil ou Malesherbes La Défense / Château de Vincennes Mairie de Saint-Ouen / Olympiades. Un ticket à l'unité permet un trajet simple quelle que soit la distance avec une ou plusieurs correspondances possibles avec les autres lignes de métro, tramway et bus dans la limite d'une heure. Le manque à gagner est compensé par l'autorité organisatrice, le SYTRAL. Il est le seul à ne pas pouvoir assurer la maintenance lourde de ses rames. Cette deuxième ligne, dont le premier tronçon a été ouvert en 1978, relie aujourd'hui la station Charpennes - Charles Hernu à Villeurbanne, au nord, à la station Gare d'Oullins, au sud. L'existence de la ligne B est intrinsèquement liée à celle de la ligne A. La radio Jazz Radio s'occupe de la programmation musicale des stations depuis 2008. Hotel de Ville - Louis Pradel : La Danse, Josef Ciesla ; Les Robots, Alain Dettinger ; Saxe - Gambetta : Sculpture en acier, Jacques Bouget ; Place Jean Jaurès : Rive de la planète, Rive de l’écrit. Ces réservations pourraient ainsi donner naissance aux stations suivantes : Le Sytral n'a pas planifié dans le temps l'ouverture éventuelle de ces stations, qui pourraient même ne jamais voir le jour. La ligne D, dernière née du réseau (inaugurée en 1991), est aussi la plus fréquentée, devant la ligne A. Elle est exploitée en pilotage automatique intégral depuis le 31 août 1992. Il faut donc choisir depuis la rue un accès donnant sur le quai pour la direction souhaitée. Ces stations sont conçues, à quelques exceptions près, sur un niveau unique. Le Sytral a voté jeudi la réalisation de quatre lignes de tramway avant la fin de l’année 2026 dans la métropole de Lyon. Il faut toutefois noter qu'une extension au nord se heurtera à la conception de la station Charpennes. L'extension de cette ligne à Hôtel de Ville et l'ouverture de la ligne A (Perrache - Laurent-Bonnevay) et de la ligne B (Charpennes - Part-Dieu) [8] sont inaugurées le 28 avril 1978 en présence du président de la République Valéry Giscard d'Estaing, du premier ministre Raymond Barre, du nouveau maire Francisque Collomb[9] pour le tronçon passant sur la ville de Lyon et du maire Charles Hernu pour celui passant sur la ville de Villeurbanne[10]. Calculez un itinéraire et choisissez le meilleur parmi plusieurs alternatives en métro, tramway, bus, funiculaire, à vélo et même à pied ! Elle vire à l'ouest sous les immeubles au sud de la rue de Bonnel (Place de Milan), puis traverse en profondeur le boulevard Vivier-Merle avant de s'engager en deuxième sous-sol sous le centre commercial de la Part-Dieu, où se situe la station Gare de la Part-Dieu - Vivier Merle. Bruno Bernard annonce, parmi les projets de création ou de prolongement de métro, de n'en réaliser qu'un seul pendant son mandat[49],[50]. The Henri de Lubac University Library One library for 2 campuses. Le deuxième atelier, appelé Unité de transport Métro C, est celui d'Hénon, dans le 4e arrondissement de Lyon. De chaque côté de la voie, deux barres métalliques surélevées assurent à la fois le guidage via des roues horizontales et l'alimentation électrique[22]. Le prolongement au-delà, jusqu'à l'autoroute A450 à Saint-Genis-Laval, est également envisagé[13]. Ce projet, bien qu'il fût publié à l'époque dans une revue sérieuse (La Science Populaire), ne connaîtra jamais de suite. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'infrastructure et le matériel roulant sont propriété du Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (SYTRAL), Autorité organisatrice de transport urbain de l'agglomération lyonnaise, qui en a confié l'exploitation et l'entretien dans le cadre d'une délégation de service public à la société Keolis-Lyon, filiale du groupe Keolis. L'architecture des stations a évolué au fil des prolongements du réseau. Pas de roulement pneumatique : Entre Hôtel de Ville et l'entrée de la station Croix-Rousse, et sur la section en surface entre Hénon et Cuire, la voie est fixée sur des traverses en bois posées sur du ballast. En 1968 est créée la société d'études du métro de l'agglomération lyonnaise (SEMALY), dirigée par René Waldmann[6]. Les multiples extensions du métro de Lyon démontrent que celui-ci a favorisé la connexion d'une gare à l'autre par un réseau métropolitain, conformément au rôle originel d'un réseau express régional. La ligne B du métro de Lyon est une ligne du réseau métropolitain de Lyon.Cette deuxième ligne, dont le premier tronçon a été ouvert en 1978, relie aujourd'hui la station Charpennes - Charles Hernu à Villeurbanne, au nord, à la station Gare d'Oullins, au sud.Avec une longueur de 7,7 km, elle se place entre les lignes principales A et D, et la plus courte ligne du réseau, la C. Au succès du meeting organisé le 30 mai 1963 par l'Union des comités d'intérêts locaux (UCIL) et la Jeune chambre économique (JCE) fait suite la première discussion relative au projet de métro au conseil municipal de Lyon le 22 juillet. Il s'agit d'un métro sur pneumatiques. La ligne B sera prolongée au-delà de la gare d'Oullins sur une longueur de 2,5 km environ. C'est donc cette même année que débutent les premières études, principalement réalisées par René Waldmann alors ingénieur au Service Ordinaire des Ponts et Chaussées (SOPC) du Rhône. Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise, Autorité organisatrice de transport urbain, Centre Hospitalier Lyon Sud Jules Courmont, Prolongement de la ligne B à Oullins sur le site du Sytral, Le Progrès de Lyon du 3 mars 2011, article: Métro à Oullins : la ligne B voit enfin le bout du tunnel, Oullins: première navette pour le métro B prolongé, Communiqué des décisions du 5 novembre 2014, Une concertation publique sur le prolongement de la ligne B du métro aux Hôpitaux Lyon Sud, Arrêté n°E-2015-447 du 2 septembre 2015 prescrivant l'ouverture d'une enquête préalable à la déclaration d'utilité publique du projet de prolongement de la ligne B du métro aux Hôpitaux Lyon Sud, Arrêté n° 69-2016-05-27-002 du 27 mai 2016 déclarant d'utilité publique le projet de prolongement de la ligne B du métro aux hôpitaux Lyon Sud, Prolongement de la ligne B aux Hôpitaux Lyon Sud - Dossier de concertation préalable, Top départ pour les travaux de la ligne B du métro lyonnais, Lyon : prolongement du métro B, le tunnelier baptisé, Prolongement de la ligne B aux Hôpitaux Lyon Sud, Métropole de Lyon : des maires demandent le prolongement des métros B et C, http://openvideo.dailymotion.com/video/x9tp4c_prolongement-de-la-ligne-b-du-metro_news, Liste des stations du funiculaire de Lyon, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ligne_B_du_métro_de_Lyon&oldid=178640920, Article avec une section vide ou incomplète, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Auvergne-Rhône-Alpes/Articles liés, Portail:Transports en commun/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. L'infrastructure et le matériel roulant ont été conçus pour limiter au maximum la consommation électrique en utilisant un système de frein électrique à récupération d'énergie[22]. Si des doutes subsistent concernant la fréquentation (estimée à environ 60 000 voyageurs par jour), le projet est globalement approuvé par les habitants. 23, place Carnot - 69002 LYON Métro Perrache (ligne A) Tramways T2 et T1. TCL.fr, réseau des Transports en Commun Lyonnais, met à disposition les plans des lignes de métro, bus, tramway et funiculaire sur Lyon, Villeurbanne et l'agglomération lyonnaise ainsi que toutes les informations pratiques sur l'utilisation du réseau. Il faut attendre l'année 1885 pour voir apparaître le premier projet d'un métro[5].