En fin de partie, Flórián Albert marque et fait gagner les siens[58]. La manière de défendre est redéfinie, collectivement, au moyen d'un marquage de zone et avec le recul d'un demi dans la ligne d'arrières en situation défensive[30],[36],[37]. Avec 75 buts marqués en 68 sélections, Sándor Kocsis a surtout marqué les différents observateurs grâce à son jeu de tête, que Gusztáv Sebes considère comme « le meilleur de l'histoire »[148]. L'histoire récente est beaucoup plus terne puisque la Hongrie n'est plus apparue en Coupe du monde depuis 1986. Après 1939, la Hongrie quitte le Hungária körúti Stadion tout en continuant à jouer dans le stade de Ferencváros jusqu'à l'effondrement d'une tribune le 4 mai 1947 lors d'une rencontre face à l'Autriche[170]. Après la déception de la Coupe du monde de 1934, Dietz remplace Ödön Nádas[B 8]. La Hongrie a été par deux fois meilleure attaque de la Coupe du monde de football : en 1938, avec 15 buts, et en 1954 avec 27 buts[190]. Lors des éliminatoires du Championnat d'Europe 1968, la Hongrie termine en tête de son groupe, devançant l'Allemagne de l'Est, les Pays-Bas et le Danemark[74]. Elle est tenue en échec par le pays de Galles (1-1) puis s'incline (2-1) devant la Suède, sélection-hôte. Ils marquent les premiers mais concèdent vite l'égalisation sur une faute de main de leur gardien. Pour la première fois, la Hongrie ne parvient pas à se qualifier pour une phase finale de Coupe du monde[note 6]. En s'appuyant sur cette génération de joueurs talentueux, rassemblés au quotidien dans seulement deux clubs, Sebes va constituer l'une des plus grandes équipes de l'histoire du football[30]. Originaire de Dorog, il rejoint le Budapest Honvéd en 1950 pour y disputer sept saisons puis achève sa carrière au FC Tatabánya[159]. Quelques mois après l'échec de l'Euro 1968, la Hongrie défend sa médaille d'or olympique aux Jeux de Mexico. Albert est désigné « Meilleur jeune joueur » du tournoi, succédant au palmarès au Brésilien Pelé[60]. Le succès 10-1 des Hongrois face au Salvador constitue le record de buts marqués par une équipe lors d'un match de Coupe du monde[97]. L'équipe hongroise a participé neuf fois aux Jeux olympiques d'été. Le match s'enlise sur un terrain rendu boueux par la pluie, qui avantage des Allemands mieux préparés et équipés[43]. Au niveau tactique, il s'inspire du 4-2-4 du technicien Márton Bukovi, alors en poste au MTK Budapest. Si elle a affronté la quasi-totalité des nations européennes (en dehors de Gibraltar et du Kosovo) et sud-américaines (à l'exception du Venezuela et l'Équateur), les rencontres contre des sélections africaines sont beaucoup plus rares : seulement huit, dont six face à l'Égypte. Ils se sont également rencontrés en quart de finale du tournoi olympique 1964, finalement remporté par les Magyars[223]. La dernière rencontre officielle date de juin 2016, lorsque les deux équipes sont engagées dans le groupe F de l'Euro 2016, un match remporté 2-0 par les Hongrois. N'ayant besoin que d'un nul face à la Bulgarie pour poursuivre la compétition, les Hongrois, pourtant menés au score pendant une demi-heure, s'imposent sans forcer (3-1)[69]. La remontée au classement FIFA de la Hongrie montre le léger renouveau des Magyars, 32es en 2012[109]. L'équipe de Hongrie de football est l'équipe nationale qui représente la Hongrie lors des compétitions internationales masculines de football, sous l'égide de la Fédération hongroise de football. Même si les résultats de la Hongrie sont inférieurs à ceux de l'époque du onze d'or hongrois, le parti au pouvoir utilise toujours l'équipe nationale comme un moyen de propagande[211]. La Hongrie affronte ensuite le Brésil, invaincu en Coupe du monde depuis le quart de finale de 1954 perdu face à la Hongrie. La Hongrie réalise sa meilleure performance en atteignant la finale de la compétition à deux reprises, la première fois en 1938 face à l'Italie, tenante du titre et favorite à sa propre succession ; la seconde fois en 1954, contre l'Allemagne de l'Ouest, pourtant vaincue très largement (8-3) lors du premier tour de la compétition. De même l'équipe brésilienne qui remporte cette Coupe du monde s'inspire également des innovations hongroises en termes de stratégie, copiant aussi le 4-2-4 de Sebes, tout en l'adaptant[36]. Joueur le plus capé avec 101 sélections, Bozsik marque notamment la sélection par sa créativité et sa technique[157]. Plusieurs joueurs hongrois, à la suite d'émigrations ou de déplacement forcés, ont joué sous les couleurs d'autres sélections, notamment pour l'équipe de France. Dans les derniers instants du match, Ferenc Puskás croit égaliser mais l'arbitre refuse son but pour un hors-jeu contesté[43]. Lors de la Coupe du monde 1962 au Chili, l'effectif de la Hongrie ne compte plus que le gardien de but Gyula Grosics comme témoin de l'épopée de 1954. Issu du Budapest Honvéd comme nombre de ses coéquipiers internationaux[A 14], Puskás fait ses débuts internationaux à seulement 18 ans, en 1945[144]. La Hongrie se porte à nouveau candidate, mais face aux difficultés financières croissantes liées à la crise économique de 1929, le pays se retire de la course et l'Italie obtient l'organisation de l'événement[A 9]. Lors de l'édition suivante de la Coupe internationale, entre 1931 et 1932, la Hongrie réalise un résultat honorable, en terminant troisième sur les cinq nations engagées. L'appartenance des deux nations à la double monarchie d'Autriche-Hongrie, au moment de la création des deux sélections, explique les liens très étroits qui existent entre elles. Sans joueur majeur, la sélection olympique de Zoltán Opata concède la défaite face à la Pologne dès le premier tour[19]. Football : résumé muet du match amical opposant, au stade Gerland à Lyon, l'équipe de France à la Hongrie. Huit ans plus tard en Belgique, elle atteint de nouveau la phase finale et échoue en demi-finale, encore une fois contre l'URSS. Menée par Flórián Albert, âgé de seulement 18 ans, la sélection décroche la médaille de bronze en battant l'Italie en petite finale[53],[56]. Le tournoi oppose la Hongrie à ses voisines : l'Italie, vainqueur en 1930 et 1935, l'Autriche, vainqueur en 1932, la Tchécoslovaquie, vainqueur en 1960, la Suisse, et la Yougoslavie lors de sa dernière édition[181]. Baróti meurt en décembre 2005, à l'âge de 91 ans[167]. Cet article traite de l'équipe masculine. Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale ralentit à peine l'activité de la sélection, qui poursuit ses rencontres[note 3] face à des nations des forces de l'Axe (Allemagne, Italie, Roumanie, Bulgarie et Yougoslavie), des nations alliées (Finlande), soumises (Croatie) ou neutres (Suisse et Suède)[A 13], et ce jusqu'en novembre 1943. Cette campagne qualificative fut notamment marquée par des performances très ternes à l'extérieur, dont un match nul surprenant sur la pelouse des îles Féroé (0-0) et une défaite en Andorre (0-1)[131]. Avec le faible niveau de la sélection nationale, la population hongroise est bien moins impliquée dans le football hongrois. ÉQUIPE NATIONAL DE FOOTBALL DE LA HONGRIE - 2016 - EURO2016 FRANCE ( Photo: ujszo.com ) Au premier tour, la Hongrie affronte d'abord l'Angleterre. Placée dans la voie A du fait de la qualification de toutes les autres équipes présentes en Ligue A en dehors de l'Islande, la Hongrie se défait d'abord des Bulgares à l'extérieur (3-1) le 8 octobre 2020, avant de renverser à domicile l'Islande le 12 novembre 2020 grâce à deux buts coup sur coup en fin de match par Loïc Nego (88e minute) et Dominik Szoboszlai (92e minute) compensant l'ouverture du score islandaise précoce sur un coup-franc direct de Gylfi Sigurðsson ponctué par une bourde du gardien hongrois Péter Gulácsi (11e minute). Le dernier match face à la France, sans enjeu, s'achève sur une troisième défaite[94]. La Hongrie a réussi sa meilleure performance en remportant la compétition à trois reprises, la première fois en 1952 en disposant de la Yougoslavie en finale, la seconde à Tokyo en 1964 et la dernière en 1968 à Mexico. György Sárosi, joueur du Ferencváros de 1930 à 1948, inscrit 42 buts en 62 matchs pour la sélection hongroise entre 1931 et 1943[149]. Parmi les huit équipes encore en lice pour les quatre tickets restants, l'Islande et la Hongrie se sont qualifiés… C'est avec une équipe largement renouvelée que la Hongrie aborde les Jeux olympiques de Rome en 1960. Dominée par la plupart des formations de son groupe, l'équipe hongroise termine avant-dernière, à douze points du dernier qualifié du groupe[120]. Sa polyvalence est souvent mise en avant, du fait que György Sárosi pouvait jouer aussi bien en tant qu'avant centre, son poste de prédilection, demi ou même arrière[154]. Le football apparaît dans la région à la fin du XIXe siècle[2] et plus précisément durant les années 1890[3], notamment à Budapest, où sont fondés les premiers clubs du pays : le Budapest TC en 1885, le Magyar AC en 1895 et l'Újpest TE, le plus ancien encore existant aujourd'hui, en 1899. Portés par un Albert au sommet de son art[52], et face à une équipe privée de son maître à jouer Pelé, blessé, les Magyars l'emportent trois buts à un après un match remarquable[70],[71]. Après la fondation de la Fédération hongroise en 1901, l'équipe nationale dispute la première rencontre de son histoire en 1902 face à l'Autriche. Peu après la Coupe du monde, certains joueurs allemands attrapent la jaunisse[30]. Quelques mois après son élimination à la Coupe du monde, en avril 1998, la Hongrie remporte la LG Cup, tournoi amical se déroulant dans des pays musulmans, après avoir éliminé l'Iran puis la Macédoine[113]. Il mène la Hongrie à trois succès et à deux défaites, lors de cinq matchs disputés contre l'Autriche ou contre la Bohême et Moravie[162]. Avec France Football, suivez l'actualité; sportive du football en direct, les résultats, les classements, les transferts de foot et les infos sur l'équipe de France de football Pour la première fois, la Hongrie ne parvient pas à se qualifier pour une phase finale de Coupe du monde[note 6]. Line: 107 Pour élaborer son système, on considère que Sebes s'est inspiré d'un stratagème, qu'il rationalise, déjà entrevu par l'équipe de Tchécoslovaquie avant la guerre ainsi que par celle du Brésil en ce début des années 1950[36]. Ce n'est que lors des campagnes de qualifications pour la Coupe du monde 2014 puis de l'Euro 2016 que des tensions extra-sportives, surtout dans les tribunes ou les abords de stades, ont fait leur apparition[227], chaque camp revendiquant de façon plus ou moins virulente la Transylvanie[228]. Elle a joué sur tous les continents : en Afrique (dès 1932 au Caire contre les Pharaons), en Océanie (lors de deux rencontres amicales gagnées face à la Nouvelle-Zélande en septembre 1982[183]), en Asie (pour les Jeux olympiques 1964 et la Coupe Kirin 1993 remportée au Japon), et en Amérique avec, outre des tournées amicales, les trois Coupes du monde disputées sur le continent américain (Chili 1962, Argentine 1978 et Mexique 1986) et le tournoi olympique de Mexico en 1968. Il dirige une nouvelle fois au Budapest Vasas avant d'être rappelé au chevet de l'équipe nationale en 1975. Même la sélection olympique, qui reste sur trois finales d'affilée, est éliminée au premier tour des qualifications aux Jeux olympiques de 1976 par la Bulgarie[91]. Par la suite, en 1974, il entraîne l'équipe de Hongrie. Mais un faible niveau de jeu proposé et des résultats très négatifs dont une défaite surprenante contre le Kazakhstan (3-2) font que Georges Leekens est remercié en juin 2018 avant même le début de la compagne de qualification[134]. Malgré cette performance prometteuse, la sélection subit une cuisante défaite face aux Pays-Bas, vainqueur huit buts à un[125], ce qui constitue la pire défaite des Hongrois depuis 1941[126]. Ainsi, le stade Rudolf Illovszky (9 000 places), le stade d'Oláh Gábor utca à Debrecen, ETO Park à Győr ou encore le stade Sóstói à Székesfehérvár (14 300 places) ont accueilli la sélection nationale à diverses reprises[179]. France Football fait en tout cas l'éloge de ce dernier, à la fois capitaine et buteur, considéré comme « l'un des meilleurs footballeurs au monde » par l'hebdomadaire, qui met en avant ses capacités exceptionnelles de dribbleur[A 15]. Au premier tour, la Hongrie affronte d'abord l'Angleterre. Cette campagne qualificative fut notamment marquée par des performances très ternes à l'extérieur, dont un match nul surprenant sur la pelouse des îles Féroé (0-0) et une défaite en Andorre (0-1)[131]. Cette victoire face à la Celeste est historique puisque l'Uruguay n'avait encore jamais perdu un match lors d'un tournoi mondial[note 4]. Il remporte ainsi la médaille d'or au tournoi olympique en 1952 à Helsinki et contribue à la série d'invincibilité de l'Aranycsapat, jusqu'à la finale de Coupe du monde 1954, perdue face à la RFA[159]. Elle dispute son premier match de qualification le 25 mars 1934 face à la Bulgarie. Avec plus de 130 rencontres, Hongrie-Autriche est la seconde opposition mondiale en termes de matchs, derrière Uruguay-Argentine[221]. La Corée du Nord, initialement dans le groupe de la Hongrie, est disqualifiée pour avoir pris part aux Jeux des nouvelles forces émergentes, interdits par le Comité international olympique[64]. Au premier tour, elle rejoint le groupe le plus ardu, composé de l'Argentine, sélection d'un pays-hôte dont la junte militaire au pouvoir attend la victoire, l'Italie et la France[A 18]. Les Hongrois ont terminé l'année 2016 au 26e rang mondial et au 17e rang européen selon le classement FIFA. Une série de mauvais résultats au printemps 1956 (deux nuls et deux défaites) met un terme au contrat du technicien, qui est remplacé par son assistant, Márton Bukavi. La rivalité entre les deux nations a des origines historiques avec les conséquences du Traité de Trianon, qui voit la Hongrie céder à la Roumanie la région de Transylvanie à la fin de la Première Guerre mondiale, sans que la population ne soit déplacée[224]. Maquette du Népstadion en 1952, un an avant son inauguration. L'équipe de Hongrie de football (Magyar labdarúgó-válogatott en hongrois) est l'équipe nationale qui représente la Hongrie lors des compétitions internationales masculines de football, sous l'égide de la Fédération hongroise de football. Certains observateurs politiques et sportifs vont même à dire que ce sont les mauvais résultats de la Hongrie en 1956, conjugués au limogeage de l'entraîneur mythique de cette période, Gusztáv Sebes, qui provoquent la colère du peuple hongrois, et donc de l'insurrection de Budapest de 1956[210]. C'est cette liberté rendue aux joueurs, par rapport au dispositif en « WM » qui demande une rigueur et une répartition précise des rôles sur le terrain, qui est mise en avant pour expliquer notamment les victoires retentissantes contre l'Angleterre en 1953 et 1954[36]. Au second tour, l'équipe hongroise olympique se défait de l'Allemagne de l'Est (2-0), de l'Allemagne de l'Ouest (4-1) puis du Mexique (2-0)[88]. Les 27 buts inscrits par le Onze d'or lors de la Coupe du monde 1954 restent le record de buts inscrits par une équipe lors d'une phase finale[97]. Huit ans plus tard en Belgique, elle atteint de nouveau la phase finale et échoue en demi-finale, encore une fois contre l'URSS. En 2014, l'équipe hongroise s'est qualifiée à neuf reprises sur vingt possibles pour la phase finale de la Coupe du monde. Dans les années 1960, la Hongrie conserve un jeu tourné vers l'avant, très offensif, caractérisé par des passes courtes et rapides. L'équipe porte un maillot rouge, blanc et vert pour les matchs à l'extérieur[231]. Il débute en équipe nationale en 1947 et participe à toutes les campagnes de la Hongrie, que ce soit aux Jeux olympiques, en Coupe du monde ou à l'Euro[159]. Dix ans plus tard, il va disputer l'Euro de football avec la Hongrie... face à la France. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Ils terminent la compétition, disputée sur deux ans et demi, à la quatrième place. Ouvert en 1896 dans le 14e arrondissement de Budapest, le Millenáris Sporttelep accueille les premiers matchs de la sélection hongroise[168]. Une victoire facile sur le score de onze buts à un[21],[A 11] qualifie les partenaires de Gyula Zsengellér, auteur de six des onze buts de son équipe. Pour son entrée en lice à Old Trafford, la Hongrie s'incline face au Portugal trois buts à un[69]. Lors du dernier match de poule, sans enjeu, Hongrois et Yougoslaves offrent un grand spectacle, ponctué par onze buts (6-5) dont quatre pour le seul Tibor Csernai[65]. Les buteurs hongrois sont László Kiss (3), László Fazekas (2), Tibor Nyilasi (2), József Tóth, Gábor Pölöskei et Lázár Szentes[97]. De plus, le niveau très inférieur de l'équipe actuelle contribue à renforcer l'image « mythique » de l'équipe des années 1950[199]. Line: 315 Avec 117 rencontres[165], Lajos Baróti est actuellement le technicien comptant le plus de matchs passés sur le banc de la sélection. Ainsi, le stade Rudolf Illovszky (9 000 places), le stade d'Oláh Gábor utca à Debrecen, ETO Park à Győr ou encore le stade Sóstói à Székesfehérvár (14 300 places) ont accueilli la sélection nationale à diverses reprises[179]. Ils parviennent à terminer troisièmes de leur poule avant de s'imposer face à la Norvège à l'aller comme au retour lors des barrages, ce qui permet à la sélection dirigée par l'Allemand Bernd Storck de se qualifier pour son premier tournoi international depuis trente ans. Les Argentins prennent finalement l'avantage en fin de match par Daniel Bertoni, donné blessé mais entré en cours de partie[B 4]. L'Euro est plutôt une réussite pour l'équipe, qui réussit à sortir des poules, qui plus est en terminant à la première place et invaincue, en ayant notamment tenu en échec le Portugal, futur vainqueur de la compétition, au terme d'un match spectaculaire (3-3, après avoir à chaque fois mené au score)[128]. Sa large victoire contre le Mexique (4-0) lui permet d'atteindre le même nombre de points que le pays de Galles. L'appellation Onze d'or (hongrois : Aranycsapat) ou Équipe en or définit l'équipe nationale hongroise de football de la première moitié des années 1950, championne olympique en 1952 et finaliste malheureuse de la coupe du monde de football de 1954. De même l'équipe brésilienne qui remporte cette Coupe du monde s'inspire également des innovations hongroises en termes de stratégie, copiant aussi le 4-2-4 de Sebes, tout en l'adaptant[36]. La Hongrie se rattrape en se qualifiant pour le Championnat d'Europe de 1972. C'est le seul pays à avoir réalisé cette performance[note 5]. Une victoire facile sur le score de onze buts à un[21],[A 11] qualifie les partenaires de Gyula Zsengellér, auteur de six des onze buts de son équipe. La rencontre face à l'Autriche disputée en 1902 est la première pour les deux équipes et les années suivantes vont voir une multiplication des rencontres, majoritairement amicales.

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